Depuis 2013, Equilis dispose d’un Comité Esthétique en interne. Comme son nom l’indique, celui-ci permet de soigner le design des projets, mais pas seulement : en s’intéressant à l’esthétique, le développeur entend avant tout améliorer la qualité de ses réalisations et offrir davantage de bien-être à leurs occupants.
Chez Equilis, l’aspect esthétique des projets a toujours été un point central. La beauté d’un lieu n’est en effet pas seulement agréable à l’œil, mais elle contribue aussi et surtout au bien-être de ses habitants et utilisateurs. La luminosité, les aménagements extérieurs ou encore les matériaux sont par exemple autant d’éléments qui permettent de se sentir à l’aise dans un endroit.
Comme la plupart des développeurs, Equilis a d’abord intégré la dimension esthétique de ses projets dans un processus opérationnel classique. Ce système fonctionnait mais présentait quelques limites, c’est pourquoi la société a créé en 2013 un Comité Esthétique consacré uniquement à cet aspect. Depuis lors, chaque projet est présenté à cette équipe composée de différents responsables internationaux d’Equilis et de Carl Mestdagh, fondateur et Executive Chairman.
Une esthétique qui a du sens
Le Comité Esthétique intervient en général avant les dépôts de permis, ainsi qu’avant et pendant les travaux. Il n’est pas rare que l’équipe se déplace directement sur chantier, par exemple pour évaluer un choix de matériaux ou déterminer certaines finitions. En amont de cela, le Comité s’intéresse aussi à la programmation des bâtiments, aux aménagements extérieurs, aux voiries, au mobilier urbain, etc. Son rôle est de prendre le temps de réfléchir aux questions esthétiques, ce qui apporte une véritable valeur ajoutée.
« Le fait d’avoir une équipe qui se penche uniquement sur l’esthétique permet de prendre du recul et, comme on a pu le constater ces dernières années, cela améliore la qualité générale des projets qu’on construit car nos équipes deviennent elles-mêmes plus exigeantes à ce sujet », souligne Muriel Hubert, Head of Marketing and Communications.
« En accordant cette importance à l’esthétique, on obtient aussi plus de cohérence et de continuité au sein d’un même projet, et plus largement entre tous les projets d’Equilis. »
Le développeur ne cherche cependant pas à répliquer ses réalisations, au contraire. Chez Equilis, l’esthétique des lieux a toujours comme objectif la recherche d’un mieux-vivre, et par conséquent le beau doit s’inscrire dans son contexte local. Equilis s’attache aussi à peaufiner des détails qui ont toute leur importance :
« Lorsqu’on a remis à jour le cours d’eau de la Lasne aux Papeteries de Genval, les matériaux et le mobilier ont par exemple été choisis pour que les gens aient envie de s’y installer et s’y balader », illustre Muriel Hubert.
« Il existe ainsi plein de petits éléments qui peuvent rendre les lieux plus viables et qui contribuent à créer du lien. »
Des critères ESG pour encore améliorer les projets
Au fil des ans, le Comité Esthétique est pour ainsi dire devenu un véritable garant de la qualité et des valeurs d’Equilis. Son évolution suit celle du groupe, c’est notamment pourquoi la composition du Comité s’est elle aussi internationalisée ces dernières années.
Le Comité Esthétique est également en train de se transformer afin d’accorder une part encore plus importante aux critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance). Pour Equilis, il s’agit d’une évolution nécessaire et pertinente pour répondre aux besoins du marché et de la société. C’est aussi une façon d’améliorer continuellement ses développements, tant dans l’intérêt des investisseurs que des utilisateurs finaux.